L’Ivre

Julie Azoulay met en musique et chante des textes anciens traduits en français. On retrouve Les Rubâi’yât de Rûmi, Le Kâmasûtra et Le Cantique des cantiques. Ils rendent hommage à la nature et au plaisir charnel comme versants de l’extase mystique. Une révérence à la langue française et au sacré au sein du verbe même, relevant la nécessité d’une sensualité et d’une plénitude que la nature donne au corps. Une